Ingénieur en mécanique de formation, j’ai évolué dans l’industrie automobile pendant la première partie de ma carrière professionnelle. Désireux de réorienter mon parcours, je me suis lancé dans la promotion immobilière, mais la crise liée au Covid a mis un coup d’arrêt à mon activité.
Pour autant, j’avais toujours à cœur de me challenger et d’accompagner de nouvelles dynamiques. Le statut de manager de transition et les opportunités de missions à haute valeur ajoutée auxquelles il permet d’accéder, m’a rapidement séduit.
Le cabinet Robert Walters m’a proposé une première mission comme directeur de production, en management relais. L’approche était conviviale. Et le contact avec Lionel, lui-même ancien opérationnel dans l’industrie, a permis de cerner mon vécu opérationnel et mon profil avec pragmatisme. Le process a été vraiment : il n’a pas fallu plus de 3 jours entre mon entretien et mon arrivée dans l’entreprise. A l’issue de cette mission de 5 mois s’en est enchaînée une deuxième toujours pour le même client, mais cette fois-ci afin d’accompagner la montée en compétences d’un directeur d’usine.
Le fait qu’il n’y ait pas de passif au sein de l’entreprise aide à se focaliser uniquement sur les enjeux et les résultats à court et à moyen terme.
Ce que j’apprécie dans le statut de manager de transition ? Pouvoir mobiliser mes compétences et mon expérience au service de différentes entreprises et constater rapidement les résultats concrets des actions que j’ai engagées. Même si le timing de missions reste court, de vrais liens se nouent avec les équipes qui sont particulièrement à l’écoute des conseils et des retours d’expérience. Le dernier jour de ma première mission, la directrice du site, entourée des collaborateurs, m’a remercié pour le travail accompli et les collaborateurs m’ont remis une belle attention. Un moment fort qui m’a touché et conforté dans mon choix.
Envie d’accompagner nos clients dans des phases stratégiques de changement et nos managers de transition dans leurs futures missions ?