L’affaire est désormais entendue : que son besoin ait été anticipé ou non, qu’elle y soit prête ou pas, toute entreprise se trouve, un jour ou l’autre, confrontée à une situation que ses seules ressources ne lui permettent pas de régler.
Opérationnalité, expertise et disponibilité, exécution d’une feuille de route, dans un temps donné sont les caractéristiques intrinsèques du management de transition.
Elles expliquent à la fois le plébiscite de cette formule, les raisons de s’y lancer et d’y faire appel. Cela est si vrai que de nombreuses variantes apparaissent aujourd’hui – plateformes digitales de mise en relation – qui font l’économie des intermédiaires et, partant, affaiblissent la valeur même du service attendu.
Justifiant de plus de vingt ans d’expertise sur le marché de la transition, Robert Walters persiste à penser que la relation humaine est La condition de la réussite. Quelle que soit la difficulté rencontrée, il s’agit toujours de mettre « the right person at the right place ».
Pour facile que cela paraisse, il ne suffit pas de le décréter pour que cela fonctionne.
La constitution et l’entretien d’un vivier de candidats suivis et immédiatement mobilisables constitue, en soi, une valeur indispensable que les entreprises n’ont ni le temps ni la vocation d’internaliser. Elles n’ont pas plus le temps d’improviser une recherche, fût-ce pour leur propre compte, que de trier parmi des centaines de profils ceux qu’elle recevra.
C’est exactement la différence qu’il existe entre un restaurant gastronomique et un supermarché. Par le biais de l’intermédiation, chaque mission est le résultat d’une recette unique avec des ingrédients parfaitement sourcés et sélectionnés, saupoudrée des recommandations du consultant Robert Walters, notamment sur la valeur ajoutée, et le savoir-être des managers de transition candidats à la proposition.
Alors, que se passe-t-il en cuisine ?
Si Thierry Marx définit son métier comme « l’art de donner de la mémoire à l’éphémère », Robert Walters s’attache pour sa part, à créer des liens solides et durables, fondés sur la fidélité et la transparence, avec ses clients comme ses candidats.
Face à une difficulté, une entreprise sollicite Robert Walters Management de Transition.
Elle entre en relation avec un consultant spécialisé qui, fort de son expertise, est en mesure d’identifier les problématiques rencontrées, et d’apporter un regard holistique et opérationnel sur celles-ci.
Le cabinet, en effet, tient également un rôle de conseil, que la composition de ses équipes spécialisées par practice métier lui permet de jouer. S’engage alors un échange ente l’entreprise et le consultant afin de définir le canevas de la mission, son menu qui, quelquefois, est plus riche qu’on l’avait envisagé au départ.
De ce menu, Robert Walters Management de Transition, déduit les ingrédients indispensables pour le réaliser. Se dessine alors le portrait-robot du manager de transition, les qualités dont il devra faire preuve, ses hard et ses soft skills – capacité à communiquer avec les équipes en place, membres du CODIR et partenaires extérieurs, cabinets de conseil et d’avocats, investisseurs, Banques, style de management, aptitude à apaiser les tensions éventuelles, capacité à détecter et faire grandir les talents ; résistance au stress, adaptabilité, débrouillardise, etc.
C’est à partir de ce portrait extrêmement précis que le consultant, à l'appui de son équipe de chargés de recherche également spécialisée, interroge un marché de plus en plus tendu, pour établir une shortlist de trois à quatre managers de transition disponibles et avec les expertises recherchées.
L’aide technologique à la recherche – outils CRM et de data mining – n’absorbe qu’une faible partie de ce travail. Le paradoxe n’est qu’apparent : parmi la vingtaine des dossiers isolés par l’ordinateur, le choix des meilleurs incombe nécessairement à l’humain. Cette activité, qui ne peut être déléguée, est une garantie de la pertinence du candidat et le meilleur argument pour la défendre.
La qualification du candidat recouvre la présentation de l’entreprise, des attendus de la mission et de son contexte, la validation de ses compétences et de sa disponibilité, l’identification et le report de ses contraintes éventuelles, la mise en miroir de son expérience avec la situation qu’il s’apprête à rencontrer. En conformité avec le corpus de règles qui sied aux groupes côtés, en matière de transparence, d’éthique et de déontologie, nous exécutons nos obligations de conformité par rapport à nos conditions générales, à la réglementation RGPD, à la confidentialité et à la prise de références.
Le dossier détaillé de chaque manager de transition est adressé au client. Il comprend le CV du candidat, éclairé par les conseils et recommandations détaillés du consultant Robert Walters, la valorisation de son expérience par rapport à l’environnement et la culture de l’entreprise d’accueil, sa motivation, sa disponibilité, ses aptitudes (notamment linguistiques) et sa mobilité.
A l’issue de cet envoi, le consultant communique au client les compléments d’informations qu’il peut solliciter pour éclairer son choix. S’ensuit l’organisation des entretiens, suivis d’un debriefing minutieux, côté client comme côté candidat aux fins de croiser les regards sur les affinités techniques et relationnelles de la mission. Ce process est décliné autant que de besoin s’il y a lieu d’organiser de nouveaux entretiens. L’urgence réglant le métier, il ne se passe jamais plus de 72h entre l’établissement du menu et la mise en place côté salle.
Arrive enfin l’étape du dressage. Le candidat final est sélectionné et le service juridique de Robert Walters formalise la relation contractuelle. Cette étape permet de sécuriser l’engagement du Manager de Transition sur la mission. Elle est importante car la transition est un marché comme les autres, régi par les lois de l’offre et de la demande – la rareté y détermine le prix ; la rapidité conditionne la signature.
De manière générale, le consultant s’attache à informer, selon sa situation, tous les candidats présentés.
L’engagement, l’énergie et l’expertise des brigades Robert Walters Management de Transition sont les plats signatures pour faire de chaque mission une expérience opérationnelle unique et réussie. Nous devons nos étoiles à la fidélité de nos clients et aux réussites de notre communauté de managers de transition que nous accompagnons depuis 2004.
Nicole Faboumy
Finance, Principal & Head of Interim Management Africa
Titulaire du DECF et de la MSTCF de Paris Dauphine, Nicole évolue pendant plus de 20 ans dans l’Audit et la Direction financière au sein de groupes internationaux, en France et en Angleterre. En 2013, elle rejoint GSK France en tant que Directrice du CSP Finances puis se voit confier en 2015 la Direction de la transformation finances, en charge des opérations M&A sur la Russie, l’Ukraine et le Kazakhstan. Nicole rejoint Robert Walters Management de transition en 2017 et conseille les entreprises de toute taille pour pourvoir à des besoins de profils experts de la Direction financière opérationnelle et capitalistique ayant accompagné des projets stratégiques (M&A, intégration de filiales, LBO, transformation, etc.). En 2024, Nicole est nommée Head of Interim Management Africa pour accompagner les enjeux des entreprises privées et publiques africaines ainsi que des groupes internationaux implantés localement.
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