Devenir consultant en management de transition : le parcours de Laurent

Head of Digital & Technology, Sales & Marketing, en Management de Transition chez Robert Walters, Laurent David nous a rejoint en 2017 après une carrière professionnelle de plus de 20 ans dans le digital et le marketing.

Retour sur son parcours et sur les raisons qui l’ont amené à devenir consultant en recrutement.

Quel a été ton parcours avant d'intégrer le cabinet Robert Walters ?

Diplômé de Centrale Paris en 1995, j’ai eu la chance de débuter ma carrière au moment de l’arrivée d’Internet. J’ai eu un parcours professionnel très varié : tout d’abord en tant que manager à la tête de projets innovants au sein du secteur des Médias TV & Télécoms durant une dizaine d’années. J’ai ensuite occupé des rôles de DG et de Direction des Opérations au sein de PMEs du monde Digital, à la tête d’équipes constituées de profils tech, marketing & sales.

J’ai également eu une expérience de consultant indépendant et entrepreneur en tant que co-fondateur d’une agence de conseil en marketing.

En 2017, un consultant de Robert Walters m’a contacté en tant que candidat pour un poste chez l’un de ses clients. Il avait la particularité d’avoir débuté sa carrière dans le secteur IT en tant qu’opérationnel. Particulièrement sensible à sa dimension humaine, je me suis ainsi intéressé à ce métier du recrutement et ai fait le pari de relever le challenge qui se présentait à moi : celui de rejoindre la division Management de Transition pour y développer une nouvelle activité business autour du Digital en capitalisant sur ma connaissance hybride de ses différents métiers. 

En quoi le fait de venir du milieu opérationnel fait la différence auprès de tes clients et candidats ?

Ayant moi-même vécu l'expérience candidat auprès de plusieurs cabinets de recrutements, j'étais déjà convaincu que le fait de maîtriser ces sujets techniques était un atout fort.

Passionné par l’innovation technologique, je peux m’appuyer sur mes connaissances afin de bien accompagner les candidats autour de leurs points forts, ainsi que sur mon passé opérationnel pour comprendre les problématiques des clients. 

Quel est l'aspect de ton métier que tu préfères ?

Je m’épanouis à travers la richesse des rencontres. Le réseau que j’anime est constitué de profils expérimentés, avec des parcours riches et variés, et les clients que j’accompagne ont des enjeux passionnants à relever. Ce métier permet d’avoir une posture transverse, qui procure une visibilité globale sur les évolutions économiques et sociétales.

J’éprouve beaucoup de plaisir à débloquer une situation grâce à une bonne compréhension des enjeux du client, en provoquant une rencontre coup de cœur avec le/la candidat(e) idéal(e), mais également en les accompagnant tout au long de leur mission. Lorsque le manager de transition démarre sa mission et que le client nous remercie d’avoir provoqué cette rencontre, cela confirme que certes la technologie peut permettre d’aller plus vite, mais aussi que rien ne remplacera l’humain.
J’apprécie vraiment la dimension conseil, qui est la clé du succès de ce métier.

Si tu devais convaincre une personne de nous rejoindre, que lui dirais-tu ?

Si je m'adressais à une personne tentée par ce changement de métier après une première partie de carrière dans l'opérationnel, je lui dirais qu'il/elle a frappé à la bonne porte.

Chez Robert Walters, j’ai trouvé l’équilibre parfait entre le Grand Groupe, la PME et l’entrepreneuriat. J’ai aujourd’hui un statut d’intrapreneur afin de développer l’activité au sein du bureau parisien et son ambiance PME, tout en ayant le support d’un Groupe mondial côté, avec des fonctions support et des moyens importants.

À cela s’ajoutent des bureaux attractifs, des équipes sympathiques et dynamiques, et nous prenons le temps de former les new joiners à ce métier et ses process. Le cabinet offre également des opportunités de carrière sur le long terme, y compris à l'international.