Après plusieurs années en Finance, Jonathan Luyt a voulu développer ses compétences commerciales et entrepreneuriales. En 2018, il a ainsi rejoint la division Finance du cabinet Robert Walters, et s’épanouit désormais dans les relations qu’il entretient avec ses clients et candidats.

Il revient sur son parcours et sur l’adrénaline que lui procure ce poste.

Quel a été ton parcours avant d’intégrer le cabinet Robert Walters ?

Après avoir obtenu ma maîtrise de Finance à Dauphine, j’ai passé un DESS Droit et Finance sur les PME à la Sorbonne. J’ai ensuite intégré le cabinet Deloitte en audit et suis passé en Transaction Services, jusqu’à devenir Senior Manager.

Suite à cette expérience, j’ai voulu passer du côté plus opérationnel du métier. Je suis alors devenu DAF d’une participation de fonds d’investissements. Au bout de deux années, j’ai décidé de switcher de carrière : j’ai toujours voulu développer ma fibre entrepreneuriale, mais mes projets ne se sont malheureusement pas concrétisés. 

J’ai donc intégré la division Finance du cabinet Robert Walters il y a 4 ans maintenant, en tant que consultant en recrutement. Ce poste me permet de garder un pied dans la finance, tout en développant un aspect commercial et entrepreneurial.

En quoi le fait de venir du milieu opérationnel fait la différence auprès de tes clients et candidats ?

Du côté de mes clients, venir du milieu opérationnel me permet de comprendre leurs enjeux (structuration, restructuration, performance, etc.), et ainsi de mieux cerner les profils des candidats que je dois aller chercher, notamment du point de vue des soft-skills. Sur les postes plus techniques, je sais également identifier les compétences indispensables chez les candidats que je rencontre, ce qui me permet de les cibler et de les évaluer plus aisément (M&A, RI, Contrôle de Gestion, Trésorerie, etc.). 

Du côté de mes candidats, ce background opérationnel permet de mettre tout de suite à l’aise, car nous avons évolué dans des environnements de travail similaires. Parfois, nous avons des relations en commun, avons traversé les mêmes contextes, les mêmes expériences : tout cela permet de créer du lien et de personnaliser mes échanges avec les candidats.

Quel est l'aspect de ton métier que tu préfères ?

Je trouve très excitant de parvenir à réaliser un deal entre un client et un candidat : toutes les étapes du processus sont périlleuses à traverser, et lorsque je parviens au bout de ma mission, je ressens une fierté certaine. En tant que consultants en recrutement, nous tirons les ficelles pour que les choses se fassent, mais certains éléments ne dépendent pas de nous : j’aime cette dose de magie, même si notre rôle est de réduire au maximum l’incertitude.

J’apprécie également l’aspect commercial de ce métier : savoir se vendre, faire en sorte que les clients nous fassent confiance afin de nous confier des mandats. Ce côté chasseur est très intéressant car lorsque le client me confie une mission, j’ai la sensation de devoir repartir de zéro à chaque fois pour trouver le bon candidat.

Cet aspect de chasse peut être vertigineux au départ, car on ne sait pas exactement où l’on va, mais plus les choses se précisent et plus on a la certitude d’avoir trouvé le candidat idéal.

Quels sont les prérequis pour rejoindre ton équipe ?

En termes de soft-skills, je dirais qu’il faut savoir travailler en équipe, savoir donner : plus tu donnes, plus tu reçois. En effet, plus un consultant saura partager ses contacts, et plus cela lui sera bénéfique car les autres les lui partageront également, c’est un cercle vertueux. 

Cette notion du travail d’équipe est très importante pour moi, car chez Robert Walters nous sommes de réels intrapreneurs, mais nous ne sommes pas seuls : nous sommes entourés, formés, accompagnés, et chacun partage ses bonnes pratiques. 

Alors rejoins-nous, et n’aie pas peur de sauter le pas de l’intrapreneuriat !