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Mode d'emploi du leadership

Lorsque les salariés songent au leadership, ils se tournent logiquement vers leurs cadres supérieurs. Ce sont ces dirigeants qui donnent l’exemple en adoptant un ensemble de valeurs, d’attitudes et de pratiques appliqués à leur travail mais également dans leur vie personnelle.

Il n’existe pas d’approche universelle ni de solution pré-formatée pour un leadership efficace.
 

C’est la définition même du « Diriger par l’exemple ». Il n’existe pas d’approche universelle ni de solution pré-formatée pour un leadership efficace. Cependant, comme on peut apprendre beaucoup en s’inspirant des autres, nous avons analysé quelques-uns des meilleurs dirigeants dans le monde pour développer les « 5 règles d’un leadership efficace ».

Règle n°1 : agir conformément à ses recommandations

C’est peut-être une règle très simple mais étonnamment, elle n'est pas facile à suivre. Il existe souvent des divergences entre ce que les dirigeants préconisent et ce qu'ils font vraiment. Ces divergences pourraient sembler insignifiantes si elles n’entachaient pas la crédibilité des dirigeants et des cadres. Si, dans une société par exemple, le dirigeant prône une vie équilibrée et qu’il fixe des objectifs qui nécessitent des heures supplémentaires, cela donne l’impression de ne pas être sincère. Ou s’il insiste sur une culture de la « promotion en interne » et qu’ils ne cesse de recruter en externe pour occuper des postes de niveau supérieur, les employés finiront par perdre confiance en son leadership. Le PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a mis le doigt là où ça fait mal lorsqu’il a déclaré : « Personnellement, je pense que la meilleure formation est la gestion par l’exemple. Ne croyez pas ce que je dis. Croyez ce que je fais. »

Règle n°2 : agir avec prudence

Tony Blair a déclaré un jour que tout l’art du leadership est de dire non car il est en fait plus facile de dire oui. Il y a des moments où un dirigeant doit savoir prendre des décisions pénibles ou même impopulaires afin que les choses avancent : licencier un responsable incompétent, réduire les coûts pour obtenir un meilleur résultat financier, tenir tête à la direction générale, se battre pour les intérêts des employés, etc. Les salariés se tournent vers leurs dirigeants pour réaliser un objectif. La différence entre un dirigeant et un patron est qu’un dirigeant guide en franchissant tous les obstacles sur sa route alors qu’un patron suit la direction qui lui a été donnée. Lyndon B Johnson, 36èmeprésident des Etats-Unis, n’aurait pas pu mieux formuler cette règle : « C’est la condition du leadership de faire les choses que vous croyez devoir faire au moment où elles doivent être faites ». Un bon dirigeant est sans arrêt sur la corde raide, en équilibre entre le consentement qu’il doit obtenir et le contrôle qu’il doit exercer.

Règle n°3 : être un bon suiveur

Cette règle n’est habituellement pas abordée dans les livres sur le leadership alors que c’est l’un de ses aspects les plus essentiels. Le scientifique et philosophe grec Aristote pensait que « celui qui n’a jamais appris à obéir ne peut pas être un bon commandeur ». Être un suiveur est l’épreuve du leadership. Chacun de nous sera plus souvent un suiveur qu’un leader. La meilleure manière d’apprendre est d’être un bon suiveur et de se comparer à ceux qu’on admire. En imitant les meilleurs dirigeants, vous apprenez à adapter vos réponses et à communiquer avec votre personnel. En tant que suiveur, vous apprenez à soutenir le bon leadership et à comprendre ce que les gens recherchent chez un dirigeant. Un bon suiveur peut avoir un impact positif sur le leadership de la société. Être un bon suiveur demande également beaucoup de courage et d’intégrité et les personnes qui vivent selon ces règles seront non seulement des membres efficaces mais de futurs bons dirigeants. C'est probablement pour cette raison que les bons suiveurs deviennent généralement les meilleurs leaders.

Règle n°4 : traiter justement ses collègues

Il est important pour les leaders de reconnaître qu’ils ne sont pas parfaits et qu’ils ne possèdent pas tous les talents nécessaires. L’une des caractéristiques communes aux grands leaders est d’avoir conscience de ses forces et de savoir s’entourer pour compenser leurs lacunes. Selon Jack Welch, ex-PDG visionnaire de GE, le rôle d’un leader est de transmettre une culture d’entreprise solide, de bâtir des équipes compétentes et de leur montrer comment diriger. Un bon leader doit également être volontaire. Il doit coacher, conseiller et influencer ses employés pour qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. Exercer son leadership signifie être capable d’exprimer sa vision avec clarté et inciter son personnel à s’y rallier. Il faut savoir identifier le potentiel de ses collègues, les amener à progresser et les inciter à vouloir atteindre leurs objectifs. L’ancienne première dame Rosalynn Carter a déclaré : « Un leader emmène les gens là où ils veulent aller. Un bonleader emmène les gens là où ils ne veulent pas nécessairement aller mais où ils doivent être ». Que ce soit pour la société mais aussi pour eux-mêmes, les employés doivent être mis à l’épreuve pour faire la différence. Lorsqu’un leader s’intéresse à ses collègues, ils seront davantage prêts à le suivre.

Règle n°5 : savoir s’auto-évaluer

Le leadership est un processus continu visant à apprendre et à perfectionner les façons de gérer les compétences, les approches et la compréhension des personnes qui travaillent avec vous et pour vous. Pour diriger efficacement, il faut avoir un temps d’avance et s’adapter facilement aux changements. Une auto-évaluation régulière fait avancer et fournit d’excellents principes directeurs dans le leadership. Savez-vous prendre vos responsabilités lorsque les choses se passent mal et savez-vous aider les gens qui vous entourent ? Déléguez-vous des tâches que vous devriez exécuter ou faites-vous tout vous-même sans ne jamais rien déléguer ? Donnez-vous toujours l’exemple en termes de comportement, de caractère et d’attitude ? Avez-vous fait tout ce qui est en votre pouvoir pour inciter les gens à se dépasser ? Permettez-vous aux employés de prendre des risques, de faire des erreurs et d’apprendre de ces erreurs ou êtes-vous enclin à faire des reproches ?

En fin de compte, il n’existe pas de modèle standard pour les leaders et les meilleurs d’entre eux ont généralement développé leur propre style au fil des années. Le défi du leadership est de trouver le style qui convient le mieux et qui permet de s’adapter à toute situation, quelle qu’elle soit. Comme John Fitzgerald Kennedy le faisait remarquer avec finesse : « Le leadership et l’apprentissage sont indissociables ».

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Coralie  Rachet

Coralie Rachet

Managing Director, Paris

Coralie Rachet débute sa carrière à Londres dans la finance puis au sein d’un Big Four. Dans le recrutement depuis 2002, elle est Managing Director Robert Walters & Walters People.

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